Lollipop, de Ricaco Iketani

[Cyril]

Encore un shojo publié par Akata mais celui-ci m'a plus séduit, par exemple, que Comme elles ou Otomen. L'histoire est celle d'une jeune fille issue d'une famille pas très aisée (un peu comme celle de Tsukushi dans Hana Yori Dango) mais qui gagne un jour au loto. Les parents, pas très futés (surtout le père, semble-t-il), vont utiliser cet argent pour essayer de devenir médecins et décident de laisser leur fille vivre dans une famille qui l'hébergera cntre une pension.

Dans ce premier tome, l'héroïne, Madoka, est un peu balottée par les événements, sans perdre toutefois son humour et sa motivation : sa relation avec Ono, le camarade de lycée, est assez ambiguë de son point de vue et Ono, lui-même, est difficilement cernable : l'auteur dévoile progressivement plusieurs aspects, plus ou moins plaisants, de sa personnalité et je ne sais pas vraiment comment elle va faire évoluer son personnage. Il en va de même pour le fils Asagi. EN fait, j'ai l'impression que la mangaka sait où elle va mais que, dans ce premier tome, elle ne nous le laisse guère deviner. Ce qui rend le manga très intrigant et me donne vraiment envie de lire la suite.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.

[namtrac]

Ce premier tome est effectivement assez riche sans pour autant être surchargé d'infos comme peuvent l'être pas mal de shôjo (si on compare à Otomen par exemple, ce dernier fourmille de détails et de gags qui font qu'on n'a pas forcément le temps de respirer, de s'imprégner du récit et des personnages).

Comme Ricaco Iketani vient du josei, ses précédents mangas sont assez épurés d'un point de vue graphique, et ces lignes claires se retrouvent dans sa première série shôjo, ce qui fait que c'est très agréable à lire. On n'est pas bombardé d'infos visuelles et on peut se concentrer sur l'intrigue et les personnages, particulièrement intéressants.

L'auteur évite aussi les clichés car, même si Ono est un type de personnage que l'on retrouve dans d'autres shôjo et même si ses rapports avec Madoka restent également assez classiques, les réactions particulières de chacun des persos et le contexte familial sortent des sentiers battus, donnant une touche de vérité, d'originalité qui rendent la suite peu prévisible.

On s'attache immédiatement à Madoka et Tomo, qui ne sont vraiment pas gâtés par leurs parents indignes, et on a hâte de voir évoluer cette touchante (et drôle !) relation dans les prochains tomes. Dans le même temps, on s'interroge sur les relations de la mère Asagi, sur les intentions du type bizarre, sur la progression des parents�donc beaucoup de bonnes choses en perspective. Le récit est dynamique et équilibré, l'humour est efficace, l'émotion présente en filigrane mais vraiment à l'arrière-plan (pas de risque tomber dans la mièvrerie)� Bref, vivement la suite !
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"Sometimes in our lives, we all have pain, we all have sorrow
But if we are wise, we know that there's always tomorrow"
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http://www.freerice.com/index.php

[shun]

on vois directement que l'auteur sais y faire, on entre dans le sujet et on en ressort qu'une fois le tome terminé.
bonne nouvelle donc pour cette série dont le résumé m'avait plutôt faire fuire qu'autre chose.

mais bon ça reste légé, il faut donc voir comment tout va évolué.
pour l'instant j'aime bien le blondinet et sa relation avec l'héroine, une image de frère de soeur s'en dégage.
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Groupe facebook de vente manga en Belgique :
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[melvin]

Le meilleur des shôjôs Akata dans les nouveautés de ces derniers mois !
J'ai vraiment apprécié ce premier volume, qui part d'une idée marrante(les parents de l'héroïne gagnent à la loterie) pour enchaîner sur une histoire qui ne tourne finalement pas autour de ce thème pour le moment.
Persos intéressants, narration claire et efficace, on boucle ce manga avec le plaisir de la découverte et l'impatience de se replonger dans la suite.
Avec un drôle de père, et une sacrée mamie à venir, des titres inconnus et fort sympathiques arrivent chez Akata, ce qui montre qu'on peut encore trouver de bons mangas à importer. On est rassuré et heureux de faire encore quelques découvertes réjouissantes car chez d'autres éditeurs nouveautés équivaut à ...
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong

[shun]

le tome 2 commence aussi mal que laissait entrevoir la fin du tome 1.
heureusement pour le titre ( j'ai failli ne pas continuer la lecture après un tel début ), l'enlèvement et tout le tralala sont plutôt bien mis en avant, le récit est traité rapidement avec un final dans le prolongement de la série, l'argent ne fais pas le bonheur avec les amis.

ensuite on reviens au quotidien des perso et pour ma part c'est ce que je préfère, les relations évoluent que ce soit pour les jeunes héros ou les parents, l'idée de continuer a développé les parents est très bonne.

un titre qui démarre bien, faut juste voir la direction qu'il va prendre au bout de 5-6 tomes, le basic triangle amoureux ? ou l'évolution de la mère qui va pêté un cable ?

ça peut augurer du bon comme du mauvais, wait and see.

[melvin]

Purée, c'est impressionnant de voir à quel point on se fait ballader pour le moment !
La mangaka prend un malin plaisir à nous surprendre en introduisant de nouveaux éléments où en cassant les schémas qui commençaient à s'établir.
Pas moyen de deviner ce qui va se produire par la suite, normalement on installe une situation en 1 ou 2 volumes et puis on tourne en rond en délayant au maximum pour dépasser les 10 volumes...
Rien de tout ça ici, ce qui fait que l'on attend de découvrir vers quoi cette histoire va nous amener. C'est déstabilisant mais pas désagréable pour l'instant, d'autant plus que les personnages sont bien campés et que la lecture de ce manga procure un plaisir certain !
Attendons de voir comment ce qui se met en place va être brisé dans 2 mois
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong

[shun]

tome 3 :

un très bon tome 3 car il approfondi beaucoup le perso "ono" et la relation bancal avec tomoyo tiens le coup, c'est même incroyable.
d'hab ce genre de relation ne sont là que pour faire réalisé a l'héroine sont erreur, bon ça semble être un peu le cas fin du tome mais bon.

tome 4 :

un tome 4 un peu en déclin, ce qui devait arrivé est arrivé, on échappe donc pas au classique, tout n'a été que "retenue" pour finalement se réalisé, en sera-t-il de même pour ono ? car là aussi on semble parti pour faire durer les choses, après 4 tomes on peut se dire que la mangaka aime prendre son temps pour mettre l'histoire en place, y'a pas grand chose qui se passe finalement.

[Lulu]

Et bien j'espère plutôt que le couple Tomoyo/héroïne restera, et que sa passion Onoienne soit l'erreur (j'ai le droit de rêver, non?! XD).
Même si au final, je n'apprécie guère ces indécisions et changements couples à tout va, j'espère que quel que soit son choix, elle se fixera vite, et durablement :p.

J'ai aussi moins apprécié ce quatrième tome, car en plus de ses indécisions de couple, on se retrouve sur les bras avec ses indécisions de déménagement, bien moins crédibles, et donc plus difficiles à supporter à mon sens :/
Enfin, j'espère que maintenant qu'elle a l'air décidée, le tome prochain reprendra une vitesse de croisière!! =D
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ZZZ........

[melvin]

Trop bizarre ce volume 5, c'est vraiment un shôjô difficile à cerner...
3ème grosse surprise dans l'intrigue, mais qu'est-ce que l'on va avoir encore dans les 2 derniers volumes ?
Le scénario est étrange mais j'aime bien...
On a du mal à savoir comment ça peut évoluer, ça n'est pas une histoire classique et c'est bien ce qui fait l'intérêt de ce manga.
En plus ça ne va pas s'éterniser ce qui est un très bon point !
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[Taliesin]

Je viens enfin de découvrir Lollipop (oui, je déterre de vieux shôjo Akata, je découvre aussi Comme elles qui m'attirait à l'époque et j'ai très envie de tenter Papa told me)! C'est un titre que je n'ai absolument pas remarqué à sa sortie, peut-être parce qu'à cette époque, il y avait pas mal de shôjo qui sortaient. Mais je crois aussi que ce qui a enfoncé le clou, c'était son titre. C'est sur le forum de Club Shôjo que j'ai vu de bons avis dessus, mais j'avais peur de la "romance". Surtout, la comédie sentimentale, ce n'est pas trop ma tasse de thé. De plus, sur manga-news, il y avait cette phrase d'accroche "Cendrillon des temps modernes" qui a fini de m'achever, même si je trouvais les couvertures super jolies et surtout, le dessin à l'intérieur vraiment très attirant. Au final, j'ai fini par le prendre, un peu devant l'enthousiasme de namtrac quant à la sortie d'un nouveau Iketani en octobre chez Delcourt: Six-Half.

Et c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu le volume 1 de Lollipop. Iketani vient du josei et on peut dire que ça se sent. Déjà par les graphismes, mais aussi une narration dynamique et très claire (un peu moins de "bla bla sentimentaux" aussi, monologues intérieurs). Le dessin clair et sans fioriture est en même temps super joli. C'est simple, c'est ce qui m'a convaincu d'acheter ce titre. Les planches sont très aérées, ça se lit très facilement. Mais surtout, ce n'est pas gnan gnan et la personnalité de Madoka, l'héroïne, me plaît beaucoup. Le récit est très drôle par ailleurs, et on se laisse vite entraîner par cette histoire de "coming of age" assez particulière, où les adultes sont plus ou moins irresponsables. Enfin, j'apprécie aussi la relation frère-soeur entre Madoka et Tomoyo, puis le "beau mec" de la série, Ono, n'est pas inintéressant en soi. Le côté déjanté lorgne un peu vers Happy Mania, le trash en moins.

Hâte de lire la suite ! J'ai acheté le volume 3 d'occasion (difficile de trouver les jaquettes en bon état) avec les cartes postales fournies. Elles sont trop belles !!!!!
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais

[Taliesin]

Grand coup de coeur ces derniers temps pour Lollipop! J'ai complètement craqué et ai tout acheté+lu des volumes 2 à 7 ce weekend!!! J'ai été surprise de tant aimer un shôjo du genre comédie sentimentale au lycée. Lollipop est un titre dont je me souviendrai sûrement, et sur lequel je me replongerai sans doute .

J'ai adoré les volumes 2 à 5 sur la période lycéenne de Madoka. L'héroïne est vraiment sympa, c'est une fille attachante et pas du tout immature, indépendante et qui prend des décisions même si elle a tendance, comme chacun, à se laisser parfois porter par la vie et par la déprime. Je l'ai trouvée très humaine et débrouillarde surtout vu son jeune âge . Enfin, c'est un personnage qui ne manque pas d'empathie et qui a d'autres chats à fouetter que de "chercher l'amour" comme on le voit souvent dans les shôjo du genre, même si l'amour se pointe quand même, et que des garçons peuvent la troubler. C'est surtout une série sur Madoka, et comment elle doit surmonter les difficultés du quotidien pour grandir.

Il faut dire qu'en plus de Madoka, les autres personnages sont pas mal, et les relations très multiples. Tomoyo et Madoka entretiennent une relation particulièrement belle, faite de bonnes intentions, il y a quelque chose de très frère-soeur entre eux. Ono est un personnage pour le peu troublant, qui garde toujours son sang froid, et qui s'avère plus sympa qu'aux premiers abords (le "beau gosse" ><). La mère Asagi est le type même de la femme frustrée et malheureuse en ménage, reportant tout son amour sur son fils. C'est un personnage au final peu exploité, surtout cette relation avec son fils, et c'est un peu dommage. Les parents de Madoka sont géniaux et toujours là pour faire marrer (surtout le père!). Ceux-là ne sont pas toujours présents mais en font clairement des siennes mais comme dit Madoka "Même s'ils sont cons, ils s'entendent bien" (j'aime beaucoup cette manière de penser). Enfin, il y a le personnage de Chizuru... j'aimerais beaucoup vieillir ainsi ^^; (je suis obsédée par mon devenir de mémé...). La galerie de personnages n'est pas mal du tout et surtout pleine de vie!

La narration de Iketani n'est pas en reste, et le scénario est plein de rebondissements. Comme le dit melvin, on ne sait jamais où la mangaka va nous mener alors qu'on a toujours l'impression d'avoir deviné tel ou tel truc de shôjo lambda. Et finalement, NON! Iketani est une mangaka qui m'a échappée et que je trouve au final très talentueuse car son récit se lit d'une manière très fluide. Son dessin m'a beaucoup plu et j'ai hâte de retrouver son trait si personnel (les gros yeux, les nez et surtout les bouches ^^ ) dans Six Half. Son dessin est très expressif, et ce sens de la comédie rempli de folie me rappelle parfois Happy Mania de Moyoco Anno (en moins trash), en particulier lorsque les personnages gueulent des espèce de résolutions pour se donner de la motivation . les gueules s'ouvrent pour de vrai, avec des bouches déformant souvent le joli visage fin de l'héroïne .

Si le volume 5 aurait pu clore la série (et j'aime beaucoup cette conclusion que Madoka tire sur ses sentiments justement ^^ ), Iketani renchérit avec 2 volumes supplémentaires. Là, Iketani effectue un saut dans le temps dans son histoire et on retrouve Madoka 2 ans plus tard à l'Université. Et les choses immuables ont finalement bien changé... même les cheveux sont coupés. Surtout, l'ambiance change complètement, on est dans quelque chose de plus mélancolique et le drame n'est jamais loin. Les sentiments sont aussi beaucoup plus lourds, et la nostalgie des jours plus heureux est très présente. Madoka est plus posée qu'alors, les expériences l'ayant marquée. On retrouve la vie estudiantine avec des amis de fac toujours solidaires, les petits boulots, les vacances d'été et les beuveries. Ca me rappelle quelque part Puzzle pour ça. Perso, je n'ai pas vécu des années d'étudiante aussi riches.

Iketani semble apporter un véritable message des êtres aimés et du non regret. Dire ce qu'il y a à dire, ne pas laisser de regret et toujours d'avancer. La famille est finalement au centre de ce manga, et jamais les parents n'auront été aussi présents (et absents physiquement!) dans un shôjo sentimental, un monde où les parents ne sont (presque) pas . J'adore les parents voyous de Madoka, j'aimerais beaucoup trouver un shônen racontant la vie de cheffe de bande de la mère . Il y a un véritable message d'amour tout au long de ce manga, d'amour et de solidarité intergénérationnel, et pas d'amour au sens "romance" .

La série est loin d'être parfaite: le volume 4 avec les errements de Madoka (mais qui n'a jamais hésité dans sa vie), les volumes 6 et 7 avec l'ambiance parfois trop mélo (et les histoires de cÅ?ur pour le coup...), le personnage de la mère Asagi peu passé en revue ou encore Luna, personnage que je trouve un peu "sacrifiée". De plus, on retrouve un comportement de beau mec égoïste que je tends à détester et qui me désespère profondément, en tant qu'individu doté d'un sexe féminin, qui pullule dans les shôjo et - peut-être une impression - en particulier dans le Cookie. Ce genre de beau mec auquel se plie la fille, qui accepte du sexe, qu'on retrouve même dans Puzzle.

A part ces petits points, voilà une série qui m'a bien transportée et qui m'a beaucoup plu . Hâte de retrouver Iketani dans une série cette fois placée sous une ambiance beaucoup moins délire: Six Half qui sort en octobre chez Delcourt (et dont je me fichais avant cette découverte). En tout cas, je peux remercier namtrac ^^ car quelle surprise!
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[herbv]

Pour ma part, le tome 1 ne m'a que moyennement emballé. Mais je pense que je peux être optimiste pour la suite, même si j'ai noté que le tome 4 est assez faible.

Bah, on verra bien, quand j'aurai récupéré les tomes 2 et suivants
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[Taliesin]

Pas sûre que la suite te plaise . En tout cas, j'ai été vachement séduite et c'était inattendu. J'aime bien le style de Iketani, il y a ce petit côté Moyoco Anno à vrai dire ^^ .
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[herbv]

Il est pas mal du tout, ce tome 2. Ce que j'apprécie le plus dans l'histoire, c'est que l'héroïne est tout sauf passive. Comme l'a dit Taliesin, Madoka est très indépendante et n'est vraiment pas aux pieds des deux garçons.

J'aime beaucoup de dessin et le petit grain de folie que l'on sent souvent poindre dans certaines situations. Effectivement, un shôjo manga très appréciable.
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[herbv]

Très bon tome 3. J'ai bien aimé le traitement du désir, aussi bien chez Madoka que chez Tomoyo.

Bon, il y a des situations abacadabrantesques avec Ono et le père de Madoka, mais il faut bien avoir un récit avec du drame et de l'humour, afin de dynamiser le récit. Et il faut avouer que ça passe bien.

Je vais donc m'attaquer au volume 4, qui semblerait être moins bon, si j'ai bien compris en parcourant les précédents messages. Mais au moins, ça devrait coucher, enfin !
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