[UMIZARU]

[Bp]

[Elvis_Bulgroz]

Le personnage pert ses mimiques simiesques dans les autres volumes au fur et à mesure que la série prend un ton plus dramatique (j'en dis pas plus vous verrez bien).

[michael]

UN bon deuxième volume dans l'ensemble...

Même si l'intrigue principale met un peu de temps à démarrer et qu'elle est entrecoupé presque lourdement dans son milieu (SPOIL : Avec les 150.000 « accroche-toi » de tous les persos, qui font traiiiiiner lâ??intrigue), une fois que ça démarre vraiment (lorsque le bateau est retrouvé avec le gamin) câ??est vraiment intense, prenant.

Dâ??ailleurs si lâ??intrigue nâ??avait pas traîné comme ça au milieu ça aurait pu être fini dans le volume, donc frustration à ce niveauâ?¦

Mais je fais tout de même deux réserves importantes à ce volume et à la série en générale, qui se confirmeront ou sâ??infirmeront avec le prochain volume :
. Attention, à vouloir émouvoir le lecteur et faire dans le dramatique, à ne pas tomber dans le surenchère et la lourdeur, on a été limite une fois ou deux là� alors dans la durée en plus�

.Et surtout, quel dommage que lâ??on ne retrouve pas comme dans le premier volume ou dans Say Hello to BlackJack des mises à jour sans concession des aspect parfois génants et plus invisibles de notre société, qui prenait alors une dimension qui allait alors au-delà du (très bon, certes) divertissement.
En espérant que cela soit réparé par la suite� vivement ce volume 3

edit : en réponse à la question de Baiken-shishido, qui était un spoil, la réponse en sera donc un aussi, ...... 'tention, je ne vois pas en quoi le père a été lâche ?
Il s'est pris une grosse vague sur la goule, a été emporté bcp plus loin, et a été éloigné des enfants resté sur le bateau... D'ailleurs il est retrouvé par des surfeurs en train de hurler le nom ses enfants.
Tu devrais relire et revoir, mais je n'y ai rien trouvé de tel.
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"Rien que d'être vivant, de respirer ce jour-là, c'était une vérité qui était comme un inexprimable miracle".
L'audacieux jeune homme au trapèze volant, William Saroyan

[shun]

umizaru 2! hum

je crois que j'ai un problème avec l'auteur, déjà say hello black jack 1 m'a plus moyennement ( en fait il a rien d'intérressant, excepté la critique de société ), donc j'attend sa suite et son changement ( tome 4 je crois ? ).

umizaru j'aime beaucoup l'idée, les dessins, le manga dégage même de l'émotion, mais voilà j'accroche pas!
j'ai l'impression de regarder un film usa de sauvetage, un héros qui est plutôt chiant, des personnages trop exité un peu partout, tlm qui pleure, l'auteur en fait beaucoup trop ...
en résumé: alerte a malibu sans les filles ... le genre de série qu'on regarde comme ça, mais qu'on a pas envie de revoir ou d'acheter.
j'exagère un peu, mais voilà quoi, le manga est peut être aussi trop "documentaire"

je crois que je vais arrêter la le manga, si mes finance dans 1-2 ans sont meilleur, je le rachèterais certainement.
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Groupe facebook de vente manga en Belgique :
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[cosmos]

Tel le héros d'Umizaru, je sauve ce topic (de l'oubli) en le ramenant à la surface

Umizaru #4 : dans le tome 3, l'auteur donnait un peu trop dans la sursignification. C'était certes émouvant, mais ces flots de larmes et ces visages déformés par la tristesse ou l'effort finissait par nuire à la lecture. Après des mois d'attente pour lire le tome 4, le moins qu'on puisse dire c'est que ça ne commence pas très bien : pas vraiment d'exagération dans les expressions ni dans les émotions, mais une narration complètement chaotique dans les 3 premiers chapitres. Que ce soit les bulles ou bien les cases, à plusieurs reprises on ne comprend pas franchement comment on passe de l'une à l'autre, ayant l'impression de sauter du coq à l'âne. Ce défaut, déjà un peu présent dans les 2 premiers tomes, n'augurait rien de bon pour la suite.

Et pourtant, dans les chapitres restants on retrouve tout ce qui fait le charme d'Umizaru, à savoir une opération de sauvetage très prenante et dont l'issue ne sera pas forcément tout à fait heureuse (et là pour le coup, pas de torrent de larmes comme on n'aurait pu s'y attendre ), ainsi qu'une mise en valeur de l'esprit et du travail d'équipe absolument pas lourde.
Bref, après un début de tome inquiétant où se retrouvaient groupés les principaux défauts du mangaka, celui-ci surprend par une suite des événements captivante où il réussit justement à les éviter.

Après tout le temps qu'il a fallu pour lire ce tome et l'impression mitigée laissée par le 3, j'avais peur de ne plus accrocher, mais après lecture du tome 4? je veux la suite !
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"Dude, I accept the truth of your lived experiences, and I'm not going to tell you that your feelings were wrong." Squirrel Girl

[cosmos]

Parfois j'ai des grands moments de solitude sur ce topic... enfin bon.

Umizaru #5 : (little spoils inside) à la fin de son stage, Daisuke rentre à la maison, ce qui est pour lui l'occasion de revoir son père ainsi que Miharu. Il reprend son travail à bord du Nagare et se retrouve très vite contraint de participer à une mission des plus dangereuses pour l'équipage. Ayant reçu l'ordre d'arraisonner un bateau suspect quitte à user des armes, l'équipage du Nagare se retrouve à la merci du danger si la situation dégénère... suspense.

Il faut bien l'avouer, ce tome est un peu en-dessous des précédents. Toute la première partie, qui clôt le stage de Daisuke et raconte les événements de la Matsuri, n'est pas très palpitante. L'écoulement du temps est assez maladroitement rendu, qui plus est : Daisuke est censé être parti depuis 2 ans alors qu'on a l'impression que ça ne fait que quelques mois, et Miharu perd ses kilos en trop lors d'une ellipse temporelle qui passe complètement inaperçue. Bref, c'est pas terrible.

On aurait pu se dire que ce passage un peu plus calme n'était qu'une parenthèse permettant de souffler avant une nouvelle mission captivante, malheureusement la "dangereuse mission" survenant juste après se finit d'une manière assez frustrante. La tension monte petit à petit durant cet épisode, avec le talent dont le mangaka a déjà fait montre dans les tomes précédents... avant de retomber complètement en un rien de temps. Eh oui, l'équipage du Nagare doit se conformer aux ordres, qui peuvent lui demander de rentrer au port en abandonnant leur mission si elle n'est plus d'aucune utilité. Et ce ne sont pas les 3 pauvres petites pages qui suivent (où 2 gardes-côtes ont à peine le temps d'entamer le début d'une réflexion sur la manière dont leur métier fait que les hautes autorités peuvent disposer d'eux comme ils le veulent) qui empêchent le lecteur de rester sur sa faim. Le mangaka a pourtant déjà bien mieux réussi à mettre en scène des situations nuançant la réussite ou l'échec d'une mission...

On attend le tome 6, en espérant que celui-ci n'était qu'un petit passage à vide.
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