[INUYASHA]

[herbv]

A mon tour de dire ce que je pense du volume 8.

Franchement, je m'attendais à mieux. Depuis le temps qu'on me disait que le volume 8 était celui du départ de la série... Quel départ.

Je ne me suis ... pas ennuyé, le mot est trop fort...

Disons que je l'ai lu trouvé très commun, permettant de tuer 45' de temps alors que j'attends beaucoup plus d'un manga de Rumiko Takahashi. Seul le dernier chapitre a été un peu plus intéressant que le reste. Cela n'est pas suffisant et j'ai même préféré le volume 7 à celui là.

Il faut dire que je viens de lire le volume 3 de Parasite un peu avant et ça fait mal de passer après.

Bah... On verra bien la suite, je pense que la série va réellement s'améliorer. Kana sort le 9ème volume en septembre si on en croit leur annonce de fin de volume ? Pas grave, j'aurais largement de quoi faire avec tous mes mangas chouchous actuels
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[cosmos]

Faisons donc vivre les sujets dédiés... avec des spoils dedans.

D'abord, un copier-coller de mes impressions sur le tome 10, tant qu'à faire :

Inu Yasha #10 : une petite déception, après des tomes 7, 8 et 9 que j'avais beaucoup appréciés Je n'ai pas trouvé la fameuse histoire de la perle très intéressante (ça fait un peu Kikyô et Naraku 50 ans plus tôt ), et puis le méchant dans la deuxième partie du tome, bof... ce que j'aime d'habitude dans Inu Yasha ce sont entre autres les monstres que crée Rumiko Takahashi et l'atmosphère qui les entoure et dans ce tome je n'ai rien retrouvé de tel... m'enfin le petit résumé du début du tome suivant que j'ai pu trouver me laisse présager un 11e volume plus intéressant.

Inu Yasha #11 : et en effet, ce tome est plus intéressant. Déjà, le combat contre le faux Suijin se termine mieux qu'il a commencé (c'était pas trop difficile non plus ^^), et puis surtout ce tome est l'occasion d'en savoir un peu plus sur Miroku. On se rend mieux compte du fait qu'à cause du kaza-ana, ses jours sont comptés, ce qui tranche avec son comportement habituel, plutôt insouciant. Il gagne donc un peu en profondeur. D'ailleurs je me demande comment va se finir l'arc consacré à Sango commencé dans ce tome. Accessoirement aussi, Inu Yasha franchit une nouvelle étape dans l'utilisation du Tessaïga (un peu d'évolution ne fait pas de mal) et Naraku fait une nouvelle fois montre de son machiavélisme et de son côté très manipulateur, ce qui en fait un "méchant" à la hauteur pour un shônen tel qu'Inu Yasha.

Ca fait un peu bizarre de se dire que c'est le même auteur qui a fait Le chien de mon patron, où quelques pages suffisaient pour donner de la profondeur à des personnages. Dans Inu Yasha on sent qu'elle en est capable, mais ça se fait par doses homéopathiques Enfin je ne vais pas mentir, la lecture de ce volume 11 m'a été très agréable et j'y ai trouvé tous les éléments que j'aime dans ce titre (des monstres très "japonais", de l'action, un peu de profondeur parfois, de la manipulation...). Je voulais juste faire passer l'impression que j'ai eu, peu de temps après avoir vu ce que donnait un recueil de nouvelles de Rumiko Takahashi, qu'Inu Yasha pourrait plus sortir du lot si la progression des événements et des personnages n'était pas si délayée.
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[sweetpasta]

Quand j'ai commencé Inu Yasha, je trouvais l'intrigue assez intéressante, avec une quête un peu originale, un peu de folklore japonais, un peu d'humour... après quelques tomes, j'ai trouvé ça un peu moins bien.
Mais ce tome 11 apporte quelques idées et relance mon intérêt

C'est centré sur les interactions entre les personnages, plutôt entre Naraku et les héros.
Car Naraku ne peut pas être assimilé à : "je fais le mal, car je suis le méchant", ses motivations restent assez mystérieuses. Contrairement à tous les autres, son but n'est pas de récupérer la perle (si j'ai bien compris) ; il cherche autre chose. Et pour cela il a besoin du sabre de Inu Yasha et de l'élimination pure et simple de Miroku. Il a l'air de le craindre un peu, vu qu'il échafaude toujours des plans machiavéliques pour s'en débarasser alors que pour Inu Yasha, il se contente d'envoyer des monstres (et pas des plus intelligents).

Chacun dans la bande (sauf Kagome peut-être) a vraiment une raison vitale pour vaincre Naraku. Il faut voir comment Rumiko Takahashi va développer la suite, mais ils sont plus ou moins dépendants les uns des autres : Naraku a "besoin" d'eux et eux ont "besoin" de lui.

[shun]

inu yasha est pour moi une série sympathique, mais c'est tout! je la fait plus dû au nom rumiko dessus : )

le tome 11 donc dans la continuité, je l'ai pas trouvé beaucoup mieux que les autres, j'ai bien aimer l'histoire de miroku avec le côté tragique " a cause du kaza-ana, ses jours sont comptés ".
Mais j'ai été très déçu au final a cause d'une phrase ... "si naraku meurt, se maléfice disparaitra avec lui " quelque chose du genre :/
Et voilà le coup classique, faut le détruite pour sauvé sa vie et après c'est tout est beau qui fini bien :/
Jâ??aurais aimer que même si naraku mourrait, qu'il garde le kaza-ana, et donc qu'il veuille suivre les autres malgré tout.
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[sweetpasta]

[Le Vagabond]

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[cosmos]

[cosmos]

Inu Yasha #12 : l'histoire continue à son rythme, lentement : quelques combats et un beau moment qui fait un peu (mais vraiment "un peu") progresser la relation Inu Yasha / Kagome.

En point négatif, je m'aperçois que les combats se finissent souvent de 2 manières : ou bien Kagome est en danger et Inu Yasha trouve le moyen de se surpasser pour la protéger et accessoirement terrasser son ennemi, ou bien c'est l'inverse. Ca manque d'originalité...

En point positifs, j'apprécie beaucoup comment Rumiko Takahashi se débrouille pour traiter ces fameux passages où les liens entre les différents membres du groupe est mise à l'épreuve. Ici, pas d'énième discours sur la force de l'amitié ou autre sucrerie mais des phrases claires et directes : "Tu nous énerves avec tes trucs. Ca nous arrange que tu sois avec nous ! Tu es forte à la bagarre, c'est utile !"
On se doute bien qu'il y a de la pudeur dans ces phrases, que dire "ça ne pose pas de problème si tu restes avec nous" est une manière de dire "on ne veut pas que tu partes", mais c'est tellement... rafraîchissant
[Edit : c'est justement ce genre de petits détails qui me plaît dans Inu Yasha. Je ne demande pas à ce titre qu'il fasse mieux que tous les shônen avant lui, qu'il me fasse réfléchir sur un thème grave ou que sais-je encore, juste qu'il me divertisse bien. Et en évitant de donner lourdement dans certains clichés du shônen à défaut d'offrir des situations ou des personnages diablement originaux, il y parvient.]

Autrement, j'ai été frappé par les expressions de certains personnages, notamment Kikyô et Kagome (Kikyôôôôôô ) : elles arborent parfois des visages tellement radieux que je me dis que l'expressivité de l'ancien style de l'auteur (dans Maison Ikkoku, par exemple) n'a pas tout à fait disparu. Pour cette raison, je ne peux donc détester son nouveau style.
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[sai]

bah moi j aime bien la série mais elle avance un peu lentement c'est dommage
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sai le plus proche du coup divin !

[shun]

inu yasha tome 13

tome très bon pour moi, peut être car plus classic, on a notre lot de combats, révélations en tout genres! c'est la première fois que je lis inu yasha avec autant de plaisir, je suppose que ça doit dépendre de mon humeur ^^
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[cosmos]

J'ai bien aimé aussi (la présence du personnage de Kikyô n'y est sans doute pas étrangère ^^). Ce tome 13 ne m'a pas paru exceptionnel non plus mais le fait est que l'histoire avance. Alors que parfois au milieu de diverses petites histoires il arrivait éventuellement que la situation évolue d'un iota ou que l'auteur glisse une petite révélation (mais petite, hein), là en comparaison c'est un festival :
- on en sait plus sur Kikyô, Sesshômaru et Naraku à la fois
- Inu Yasha va sans doute évoluer dans le tome 14, vu ce qu'il se passe à la fin de celui-ci
- [les héros se font dérober la perle de Shikon ]

Waw.

Sinon en point négatif (mais ça ne vient pas de l'histoire), l'impression de mon tome n'était vraiment pas fameuse. En général, seules les pages qui étaient à l'origine en couleur ont des trames un peu moirées, mais là c'est partout
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[shun]

oui mon tome est entièrement pixelé quand on regarde de plus près :/
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[cosmos]

Inu Yasha #14 : fin du combat contre Sesshômaru amorcé dans le volume précédent, suivi d'une histoire opposant des démons dresseurs de loups et des oiseaux monstrueux, comme on n'en voit que dans Inu Yasha.
Si le tome précédent était plutôt riche en révélations et rebondissements, celui-ci voit l'apparition de deux personnages assez sympathiques étant amenés à revenir dans l'histoire : la petite Rin aux côtés de Sesshômaru, et Kôga le prétendant de Kagome (et un prétexte de plus pour ne pas faire avancer la relation Kagome/Inu Yasha, un ! ).

Bon personnellement j'aime toujours autant. Je ne saurais pas trop dire pourquoi mais cette galerie de personnages fort sympathiques et les créatures sorties de l'imaginaire de Takahashi suffisent à me combler, quand le reste de cette oeuvre demeure extrêmement classique.
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[shun]

inu yasha 14 j'ai beaucoup apprécié ce tome, l'évolution des personnages, les combats, j'ai bien aimé le rythme en faites, c'est pas lent, y'a ce qu'il faut. bon on est qu'au tiers de l'histoire on a le temps : )
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