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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 26/09/20 22:28    Sujet du message: Répondre en citant

Tome 8 trouvé aujourd'hui et lu dans la foulée. Je rejoins Cyril : c'est débile et inattendu. Toujours Mort de rire Et c'est pile ce dont j'avais besoin, même si je regrette une fin assez abrupte. Les histoires sont étrangement parsemées de références disneyennes, sans doute plus que d'habitude, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et effectivement, le couple Toâ-Vipère fonctionne à merveille. Je de du très bon tome du l'être.
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- Et si je n'ai pas aimé ?
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 02/10/20 05:54    Sujet du message: Répondre en citant

Tuc a écrit:
Food Wars Tome 36 (fin) : étonnamment ce dernier tome me réconcilie avec le dernier arc
D'une part nous avons une explication via un flashback sur la non participation de Jin à ce concours, même si ça aurait pu être développé
Ensuite pour le concours lui-même, comme je l'avais dit évidemment Soma gagne contre Saïba, ce qui est logique (honnêtement ce n'est même pas du spoil), déjà à la base ils se rencontrent en demi-finale, et puis la personne que cherche vraiment à battre Soma depuis le début de la série c'est Erina et personne d'autre, du coup cela fait ressortir le côté creux de cet ennemi, qui en volant les techniques des autres cache le fait qu'il est vide, chose que nous lecteurs avions tellement bien ressenti que ça nous décevait

Exit donc le faux ennemi, et fin de la série sur le véritable ennemi, le palais divin, je ne dirais pas là comment ça se finit, mais ça reste je trouve vraiment bien fait et au final donc un bon arc. ça reste toujours hyper dynamique sur l'écriture, on ne perd pas de temps pour passer d'une scène à l'autre, et il y a beau avoir de nombreux flashback, je n'ai pas trouvé que cela alourdissait le récit

On n'échappe pas à quelques grosses ficelles scénaristiques, en particulier sur les origines de Saiba, mais même ce point reste bien traité, entre autre j'ai aussi beaucoup aimé le traitement du père d'Erina, et le plan sur le long terme en forme de pari de son grand père. J'ai trouvé d'ailleurs que cette fin faisait écho à une scène où le grand père Nakiri demande à Soma de sauver sa fille, à ce moment la logique voudrait qu'il parlait de la sauver de son beau-fils... pour ma part j'ai plutôt toujours trouvé qu'il parlait de la sauver de son palais divin

Si le tome est gros ce n'est pas parce que la fin traîne en longueur, au contraire comme je le dis plus haut, mais la moitié du tome contient 3 chapitres supplémentaires dont un d'épilogue qui sert à revoir tout le monde quelques années plus tard. Petite mention d'ailleurs à la couverture double, très belle rassemblant tout le monde. Si la tranche avait été faite de façon à ne pas couper le dessin ça aurait vraiment été parfait

Bref une série qui est de mon point de vue une belle réussite même si le dernier arc présente des longueurs avant finalement de me convaincre


Un tome assez médiocre pour ma part, sans être complètement catastrophique : l'animé, dont le dernier épisode vient d'être diffusé, s'en tire un peu mieux à mon avis, grâce à quelques changements de détail et à quelques ajouts. J'y reviendrai.

Asahi est creux : c'est un des problèmes ; on comprend ce que les auteurs veulent montrer mais, comme pour Hody Jones dans One piece, l'exécution est ratée parce que, du coup, on ne s'intéresse pas au personnage. L'autre problème est que ce personnage est un connard insupportable, imbu de lui-même et qui veut épouser une fille sans tenir compte de son opinion. Ca peut passer dans un manga de baston parce que le personnage va se faire dérouiller ; là, dans un manga de cuisine, il perd juste son match.
On ajoutera à ça une technique peu crédible, même dans le contexte du manga : avec Subaru, on avait un personnage qui copiait les techniques des autres cuisiniers en les observant. Asahi fait pire, et surtout n'a aucune crédibilité puisqu'il récupère toutes les techniques des cuisiniers simplement en récupérant leur couteau ou leur ustensile de prédilection : ce n'est même pas un simple power-up de la technique de Subaru, c'est autre chose. Ajoutons que les instruments des cuisiniers noirs sont eux-mêmes peu crédibles, avec une mention spéciale pour la tronçonneuse.

Les duels de cet ultime arc étaient eux-mêmes assez peu intéressants, notamment parce qu'on ne nous montre qu'assez peu les plats servis et la façon dont ils ont été cuisinés : la magie du cross knives joue beaucoup mais elle n'est pas la seule responsable. C'est quand même dommage d'avoir ellipsé le plat d'Erina.

Sur la conclusion elle-même : mon petit coeur de midinette Embarassé regrette que les couples n'aient pas été confirmés, alors qu'il y en avait au moins 4 d'évidents : Alice-Kurokiba, Ishiki-Nene, Eishi-Rindo et, bien sûr, Erina-Soma. Bon, on peut supposer que ce dernier couple est bien formé puisqu'Erina l'attend à son restaurant mais, pour quelque chose d'attendu et annoncé dès le premier tome (lorsque le père de Soma lui dit qu'il devra trouver quelqu'un pour qui cuisiner), j'aurais espéré davantage.

Je te rejoins en revanche sur l'idée de la génération diamant ; c'était bien pensé et bien exploité par la suite, que ce soit pendant l'arc de la centrale ou pendant celui-ci. On comprend pourquoi le grand-père d'Erina a agi ainsi et il y a assez rapidement des éléments précurseurs, ce qui ne donne pas l'impression d'un ajout tardif. C'était un plan intelligent.



Sur les améliorations du dessin animé : d'abord, l'animation, le son, la mise en scène mettent mieux en valeur, je trouve, le concept (débile mais qui en devient rigolo) d'irradiation :

https://www.youtube.com/watch?v=LofdMb8tTqs

Ensuite et surtout, il développe un peu mieux certains aspects du manga laissés de côté : par exemple, la sélection des représentants de Totsuki pour le Blue ; ou le fait que tous les élèves déjà vus participent à la défaite et à la fin des cuisiniers noirs (même si cela se fait trop facilement en repompant des effets ou plats de la saison précédente). Ca permet de les mettre mieux en valeur.
Le fait que les événements des chapitres supplémentaires du manga soient replacés dans le contexte du lycée est également plutôt positif à mon avis : même si ça a le défaut de ne pas mettre en avant les carrières des personnages, ça atténue l'impression de non-progression des couples en laissant des possibilités pour le futur. La version animée est ainsi moins frustrante.

Les défauts du dernier arc du manga ne sont pas complètement gommés mais l'animé a le mérite de donner une impression de baclage moins évidente.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 09/10/20 05:23    Sujet du message: Répondre en citant

Perfect world 10 : Tsugumi et Itsuki sont désormais mariés, ce qui permet à Rie Anuga de montrer de nouveaux aspects de leur vie et de parler d'autres problématiques. La sexualité avec une personne handicapée est abordée, de façon assez rapide et ce passage met bien en valeur la tendresse qui existe entre les 2 héros du manga ; mais ce volume se concentre surtout sur ce qui peut en être une conséquence mais se révèle particulièrement difficile pour un couple dont l'un des membres est handicapé : le désir d'enfant.

Rie Anuya sait décrire les sentiments de ses personnages et le processus de PMA, avec ses aspects scientifiques, ses difficultés, ses doutes, ses espoirs... d'une façon qui sonne très juste. On sent que, comme depuis le début de son manga, elle s'est beaucoup documentée. Du coup, on éprouve beaucoup d'empathie pour les deux personnages et on comprend leurs réactions, ce qui fait un tome particulièrement réussi et touchant.

Running girl 1 : je suis moins convaincu par ce début de série. pas désagréable, avec une héroïne dynamique une fois la situation de départ surmontée. Mais je trouve que ça va trop vite : Rin fait en effet une première course importante dès la fin du volume et, malgré les difficultés liées au matériel, semble s'adapter très (trop) rapidement. Le manga aurait dû, à mon avis, prendre un peu plus son temps pour montrer la progression du personnage - même s'il y a quelques passages d'entraînement sympathiques, notamment avec l'exercice de la corde à sauter.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 15/10/20 20:43    Sujet du message: Répondre en citant

A tes côtés T2 : Deux petits tomes et puis s'en va.
Le premier ne m'avait pas spécialement inspiré, mais comme j'avais apprécié le précédent titre de l'autrice, j'attendais qu'elle me surprenne dans cette suite ; cela ne s'est pas produit...
C'est super banal. Vraiment. Personnages relativement insipides, situations de la vie quotidienne au lycée sans un élément qui permette réellement d'apporter de l'originalité, un peu d'humour, un peu de romance, du très classique.
Je ne pourrais même pas dire que c'est mignon, car compte-tenu de la personnalité du protagoniste masculin, leur relation ne me parait pas spécialement saine ; ce qui pourrait être une idée intéressante à exploiter, mais si l'autrice le prévoit, elle n'a pas encore vraiment pris ce virage.
Or, jusqu'à présent, ce manga manque vraiment d'une accroche forte, d'un atout qui me pousserait à continuer ma lecture.
Sur ce créneau, j'ai déjà Banale à tout prix (qui porte déjà bien son nom). Cela me suffit.


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Flore
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Mars 2008
Localisation : Strasbourg

Message Posté le : 16/10/20 20:49    Sujet du message: Répondre en citant

Pareil pour moi pour � tes côtés... Le héros est quand même trop creepy
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Taliesin
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Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 20/10/20 10:48    Sujet du message: Kaze Hikaru 11-12 (US) Répondre en citant

@Flore: je trouve que la couverture fait déjà un poil peur ^^; ...

Kaze Hikaru 11-12: Je continue à lire cette série dans son édition américaine chez Viz (avec sa police rouge hyper criarde sur le dos du bouquin qui ne va pas du tout avec le petit bleu turquoise des couvertures mais passons...). Je ne sais pas trop quoi dire à propos de Kaze Hikaru car le plaisir est là, l'ambiance est vraiment super douce, mais les volumes se suivent et se ressemblent (souvent) un peu. C'est un titre curieux, hyper paisible, mais se déroulant au cÅ?ur du Shinsengumi. C'est aussi pourquoi je les lis 2 par 2, sans les enchaîner (j'ai acheté 27 volumes sur 2 mois).

Le volume 11 est surprenant car survient une mort que je n'attendais pas (peut-être que les spécialistes du Shinsengumi, connaissant les personnages historiques et donc l'âge de leur mort, s'y attendaient?). La tristesse est présente, certes, mais comme souvent avec la bonne humeur ambiante de la série, les personnages retrouvent vite leur vie tranquille. La mémoire est là, mais la vie continue. C'est tout de même tragique et c'est aussi une manière de montrer les valeurs très différentes à l'époque Edo quand on s'engage sur la voie du guerrier: la mort est parfois la seule issue. Quand je lis ce titre, je me dis que philosophiquement, nous sommes vraiment très éloignés de ce type de pensée. Le volume 11 fait partie des moments sombres de la série, entre cet enfant traumatisé qui ne retrouve plus la parole et ce décès. Pourtant, l'ambiance bonne enfant est toujours là, les moments de comédie aussi et les disputes entre Sei et So égaient le tout. Le volume 12 ouvre un nouveau départ pour le Shinsengumi car on y parle de déménagement.

C'est une série que je trouve vraiment très curieuse. Le mélange entre historique via le Shinsengumi (une milice guerrière dans une époque assez troublée), la tranche de vie tranquille, les moments tristes et surtout les moments de comédie très présents ou l'ambiance choupi en font un OVNI. Une chose est sûre, la série a un ton très positif et malgré les épreuves, la vie continue. C'est dur mais faut s'accrocher et il faut vivre avec ses convictions, quitte à trouver la mort au bout du chemin. L'humour est vraiment omniprésent et l'histoire avance vraiment à pas de tortue. Parfois, j'en oublie qu'on suit une faction guerrière importante dans l'Histoire du Japon! Il y a du travestissement et bien sûr de la romance... qui n'avance pas non plus!!! Les événements de l'Histoire prennent beaucoup de temps (1863 au début de la série et 43 volumes... pour arriver à la restauration autour de 1868 soit 5 ans??).

Le dessin reste un véritable plaisir pour les yeux. Le dessin de Taeko Watanabe est à saluer, très clair, toujours précis, avec les décors hyper présents et on sent aussi une documentation sur les vêtements, les coupes de cheveux et les différences entre Kyoto et Edo. Son dessin participe évidemment au côté tellement choupi du titre ^^; . Elle a aussi son humour fanservice BL avec Saito amoureux de Sei (mais qui ne l'est pas dans le Shinsengumi!). Autre chose, elle parvient à faire vivre une époque (par exemple, les gens ne fêtent pas leurs anniversaires et changent d'âge en même temps: au moment du nouvel an).

Côté narration, c'est dense. Je trouve les volumes très longs à lire. je ne sais pas si il en est de même en japonais, ou si c'est la traduction en anglais qui rend le tout plus complexe, avec les nombreux termes japonais gardés tels quels. En tout cas, la lecture, malgré l'atmosphère mignonne et la légèreté du ton, n'est pas... légère.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 20/10/20 19:51    Sujet du message: From Eroica with Love 1 Répondre en citant

From Eroica With Love 1

C'est par un heureux hasard que je lis ce manga. J'ai croisé en occasion les 4 premiers volumes de l'édition américaine de la série proposée par CMX. Je n'avais jamais réussi à lire le premier chapitre en scan malgré la bonne réputation du titre. Je pense avoir décelé le mystère... From Eroica With Love a été édité par feu CMX (l'éditeur le plus fou du monde: Swan, Moon Child et From Eroica With Love, 3 shôjo vintage absolument pas commerciaux dans le même catalogue! pour reprendre Véret, ils ont des couilles...). La série est devenue difficile à trouver et s'est interrompue au volume 15. La série s'est terminée dans les années 2000 après 39 volumes au Japon.

Tout le monde connaît probablement le pitch sorti du cerveau malade de Yasuko Aoike. Le Comte anglais Dorian Red Gloria est aussi connu sous l'identité de Eroica, voleur d'art. Noble, éternel romantique et homosexuel notoire, il apprécie les beautés de ce monde et une fois jeté son dévolu, il est prêt à tout pour s'en emparer. Quant au Major Klaus Heinz von dem Eberbach, il est tout le contraire de notre Comte. Agent de l'OTAN, cet Allemand (de l'Ouest!) austère n'aime que les chars, les armes et n'a aucun goût artistique. Il a aussi horreur des homosexuels qu'il qualifie de... dégénérés. Malgré tout, les deux hommes sont amenés à se croiser aux détours de différentes missions, comme rivaux ou parfois comme alliés: le destin veut donc les réunir à tout prix! Au grand plaisir du Comte qui ne semble pas du tout insensible aux charmes de l'austérité allemande...

Tout a l'air super alléchant sur le papier. Sauf que... Sauf que le volume 1 est une entrée en matière assez rebutante. En effet, le Major ne fait pas encore son apparition dans le premier chapitre. Et le Comte n'ouvre pas la série car l'introduction de la série se fait par le biais de trois adolescents dotés de pouvoirs psi (perso SANS INTERET), trois génies chacun dans leur domaine et amis d'enfance ayant croisé lors d'une balade dans les bois un vieux monsieur leur ayant donné ces pouvoirs (oui, oui). Présentation: on a Sugar Plum est la fille du trio et peut voir dans un futur proche, Caesar Gabriel est un très beau jeune homme pur et vierge doté d'une intelligence telle qu'à son âge, il enseigne l'art dans une université, quant à Leopord Solid, il est doté d'un physique tout à fait hors norme. Alors déjà les prénoms sont assez chauds à retenir (mais à quoi pensait donc Aoike?). Donc ces 3 personnages occupent l'espace jusqu'à la rencontre avec le Comte qui au début s'amourache de l'innocent Caesar ^^; qu'il... kidnappe. Ses amis (enfin surtout Sugar) vont tout faire pour le sauver. Petit à petit, la narration se concentre plutôt sur le Comte et son métier de voleur, ainsi que ses sous-fifres (heureusement tant les 3 perso sont... fades). Mais les 3 ado sont toujours là, hélas.

Au deuxième chapitre, les 3 ado sont toujours là mais le chapitre s'ouvre sur le Comte. Le Major est enfin là mais les 3 ado aussi. Dans ce chapitre, Caesar est tombé amoureux du Comte et celui-ci revient le chercher encore en tant qu'otage. Sugar et Leopord essaient de sauver leur ami d'enfance, mais déjà, les 2 personnages sont relégués très loin avec peu de temps de présence. Demeure encore Caesar qui est totalement sans intérêt. Dés l'arrivée du Major, on sent que Aoike s'enflamme totalement: même Caesar perd un peu sa place au profit de ce nouveau personnage. Et heureusement. La sauce prend enfin entre les 2 personnages, on sent que tout est bon pour faire un peu de fanservice ^^ (oooh les 2 adultes qui doivent se rapprocher pour réchauffer l'ado...). Le perso de Banyan d'Interpol est aussi très pénible en imbécile du village qui se croit très compétent.

Au 3ème chapitre, Caesar est le seul présent mais il est relégué comme figurant qui attend que le Comte s'intéresse à lui... Au revoir, place à notre vrai duo: le Major et le Comte! Où notre Major doit récupérer un microfilm (qui donne l'emplacement d'armes russes, vive la guerre froide) caché sous le vêtement court d'une statue grecque Mort de rire . �videmment, le Comte s'intéresse à la même oeuvre d'art et ils vont se rencontrer. Tout ce beau monde se retrouve sur un navire où figure une Comtesse française au nom très classe de Boulangère ^^; ...

Le tout est dense, je n'arrive même pas à finir un volume en faisant l'aller-retour (je fais 1h de trajet aller...). L'ambiance est folle, fun et même excessive. Sans tout ça, je pense que je n'aurais jamais réussi à passer le volume 1 tant la première moitié fut inintéressante à chaque apparition du trio de personnages! Heureusement que Aoike se débarrasse d'eux au bout du 3ème chapitre pour s'intéresser au plat de résistance. C'est probablement ce qui m'a empêché de lire le volume 1 en scan à une époque. Pour le moment c'est surtout rigolo à lire. Quant à l'édition, je la trouve assez peu jolie avec sa maquette orange sur les couvertures et le logo CMX. Sans parler de la reliure très rigide qui fait que je dois me battre pour maintenir le livre ouvert! C'est vraiment un obstacle ce genre de reliure. Le volume 1 fut difficile sur sa première moitié mais ça s'arrange heureusement ensuite grâce au Major (je le préfère au Comte ^^ ). En tout cas, quelle drôle de série que ce shôjo d'action et d'espionnage avec des hommes dont un homo, qui se pourchassent l'un l'autre à travers l'Europe... Sinon, faut arrêter avec les nobles partout et les superbes demeures, à croire que tout le monde en Europe a le sang bleu, palsembleu!!!!
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 22/10/20 23:09    Sujet du message: Répondre en citant

Nos temps contraires T1 : Un shôjo SF ! C'est peu dire que je l'attendais celui-là, juste pour le principe. A partir de là, le synopsis comptait peu ; je ne le connaissais même pas avant de lire ce premier tome.

L'humanité a quitté une Terre devenue inhabitable, pour s'installer dans des colonies en orbite, régies par des règles strictes en raison de la surpopulation.
Arata est un néotène, un humain représentant une nouvelle étape de l'évolution humaine, vieillissant bien plus lentement que ses semblables, objet de toutes les attentions en raison de son patrimoine génétique. Avec d'autres néotènes, il va faire la rencontre de Gion, une jeune femme n'ayant aucune existence légale, dont l'apparition va profondément les marquer.

En écrivant ce court résumé, plusieurs choses me sont venues à l'esprit. Déjà, la proximité avec Mobile Suit Gundam (les colonies spatiales et la présence d'humains plus évolués et adaptés à leur nouvel environnement). A la lecture, c'est pourtant à Terra e... que j'ai pensé, en raison de la planète devenue inhabitable par l'action des humains, ainsi que la société rigide où les relations humaines sont encadrées et étroitement surveillées. Ce ne sont certainement pas de mauvaises références (même si je regrette que la seconde attende toujours une publication en langue française). Mais ce qu'il faut retenir de ce résumé, c'est surtout qu'il ne décrit que le premier tome, lequel ne sert que d'introduction ; pour le coup, la publication simultanée du second volume n'aurait pas été superflue, car certains éléments vont nécessairement disparaitre de la suite, tandis que d'autres apparaitront. Les illustrations proposées par l'éditeur trahissaient de toute façon le fait que l'histoire se déroule à plusieurs époques.

En tant qu'introduction - la seconde époque ne commence que dans les dernières pages de ce tome - elle nous balance beaucoup d'informations, sur le monde tel qu'il est devenu, la société dans laquelle vivent les personnages, et ainsi de suite. Nous avons un aperçu de la privation de liberté, mais aussi de l'avancée technologique et d'autres concepts qui auront certainement de l'importance par la suite. C'est dense, intéressant, mais le monde - très détaillé - semble parfois prendre le pas sur le scénario, comme si l'autrice avait passé plus de temps sur la construction de son univers que sur ce qu'elle avait à raconter. Cela sera très probablement démenti par la suite, il s'agit d'un passage nécessaire pour lancer les personnages dans leur aventure. Et il reste de nombreux mystères à résoudre.

Concernant le dessin. Penser à Terra e... lors ma lecture s'est fait au détriment de Nos temps contraires, il faut bien l'avouer. Bon, j'adore le trait de Keiko Takemiya, ce dessin très "années 1970", tandis que celui de Toriko Gin est bien plus en phase avec les standards actuels, et me parle ainsi un peu moins.
Surtout - et c'est là une des raisons pour lesquelles je regrette l'absence du second volume - la première époque se déroule à un moment où les personnages principaux, bien qu'adultes, sont encore excessivement juvéniles de par leur condition de néotène. Cela change à partir de la fin du premier tome, mais dans celui-ci, nous les suivons alors qu'ils ont une apparence enfantine. Et ils semblent sortis tout droit de Made in Abyss ; que je n'ai pas lu, mais les illustrations me suffisent. Heureusement que Gion est là pour nous montrer ce que la mangaka peut nous proposer sur une héroïne plus mature ; avec son style spectral et ses cheveux ondulant dans la gravité artificielle, elle contraste très fortement avec les autres protagonistes.
L'environnement dans lequel se déroule ce manga, quant à lui, est très bien rendu, entre les vues spatiales, les intérieurs aseptisés, et la technologie omniprésente. Cela fonctionne très bien. Avec tout-de-même une certaine propension à la caricature dans les différentes colonies, que n'auraient pas renié les concepteur·ices de Mobile Fighter G Gundam Mort de rire Référence qui ne parlera certes pas à grand monde, mais si vous connaissez, vous visualisez probablement déjà le résultat.

Ceci étant, il m'aura fallu du temps pour pleinement rentrer dans ce premier tome. Entre le design poupon des personnages principaux, l'introduction légèrement scolaire se sentant obligée de multiplier les explications sur le monde de la série, et le spectre de Terra e... (qui n'est pas un shôjo manga), auquel je ne pouvais m'empêcher de penser. Néanmoins, j'ai fini par être embarqué dans l'histoire, et celle-ci m'a rendu curieux quant aux secrets de cet univers, et ce qu'elle va bien pouvoir raconter par la suite. Sans être pleinement convaincu pour le moment, j'attends la suite de pied ferme.



PS : Maintenant que j'y pense, il y a bien des humains représentant une nouvelle étape de l'évolution dans Terra e..., pas besoin de convoquer Mobile Suit Gundam.
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Shuichi
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Message Posté le : 25/10/20 19:47    Sujet du message: Répondre en citant

Gemini_ a écrit:
Nos temps contraires T1 : Un shôjo SF !

Gemini_ a écrit:
[...] le premier tome, lequel ne sert que d'introduction ; pour le coup, la publication simultanée du second volume n'aurait pas été superflue, car certains éléments vont nécessairement disparaitre de la suite, tandis que d'autres apparaitront [...]

Gemini_ a écrit:
[...] En tant qu'introduction - la seconde époque ne commence que dans les dernières pages de ce tome - elle nous balance beaucoup d'informations, sur le monde tel qu'il est devenu, la société dans laquelle vivent les personnages, et ainsi de suite. Nous avons un aperçu de la privation de liberté, mais aussi de l'avancée technologique et d'autres concepts qui auront certainement de l'importance par la suite. C'est dense, intéressant, mais le monde - très détaillé - semble parfois prendre le pas sur le scénario, comme si l'autrice avait passé plus de temps sur la construction de son univers que sur ce qu'elle avait à raconter. Cela sera très probablement démenti par la suite, il s'agit d'un passage nécessaire pour lancer les personnages dans leur aventure. Et il reste de nombreux mystères à résoudre. [...]


Pour me permettre de te citer, Gemini, c'est exactement ce que j'ai ressenti. Le tome 1 est une longue introduction à cet univers riche et d'un coup le dernier chapitre s'accélère.

Je me suis retrouvé le souffle coupé avec les dernières pages que je n'avais pas vu venir et le saut dans le temps en fin de tome qui était, comme tu l'as dit, prévisible.

Il y a pleins de choses qui se passeront par la suite (m'ayant spoilé des choses en japonais) que je me réjouis de voir et de (re)découvrir en français !

Je te rejoins qu'une sortie des tomes 1 et 2 simultanées auraient été un plus pour le titre, comme cela a été fait pour "Les Chroniques d'Azfareo", mais au vue de ce que Bruno disait dans sa dernière vidéo, l'autrice a l'air de vouloir tout vérifier et pinailler sur chaque détail d'où les approbations chronophage qui ont peut-être joué pour une sortie du tome 1 unique (?).

Pour terminer, je souhaite au titre beaucoup de succès et j'espère que les libraires feront bien leur job pour le recommander (parce que la plupart propose des choix faciles aka "Naruto/Boruto", "My Hero Academia" ou d'autres oeuvres qui n'ont clairement pas besoin d'être "poussées" par les libraires pour déjà fonctionner).

---

Sinon, j'ai lu le deuxième et dernier tome du manga "Moi aussi" par Reiko Momochi, aux éditions Akata.

Et je suis vraiment mais vraiment content d'avoir lu ce manga en deux tomes. Il est moins dur graphiquement que "En proie au silence" mais il m'a tout de même bien plus ému que le titre d'Akane Torikai qui est plus "criard", j'ai envie de dire.

ATTENTION SPOIL : Surtout l'histoire vers la fin du tome avec les deux enfants qui reviennent adultes dire bonjour à l'association féminine et qui iront témoigner au tribunal pour apporter un poids supplémentaire au combat du personnage de Satsuki Yamaguchi.

J'y ai versé des larmes...

En tout cas c'était un titre fort mais court, un peu comme "Daisy, lycéenne à Fukushima" que j'ai lu y'a pas longtemps et qui je trouve a clairement et encore plus sa place au vue de la situation sanitaire actuelle qui pousse les gens dans tous leurs (pires) retranchements et comportements.
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Taliesin
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Message Posté le : 26/10/20 11:44    Sujet du message: Répondre en citant

@Shuichi: J'ai peu d'espoirs. Souvent les libraires lisent surtout les gros shônen et donc ne recommandent que ça. Ils ne touchent pas trop aux shôjo et ça donne des "ah, tout le shôjo est là" sans trop conseiller ou bien les sempiternels conseils depuis 20 ans: Card Captor Sakura et Fruits Basket ^^; (franchement Love, Be Loved, Leave, Be Left aurait largement pu être conseillé: c'est facile, le dessin est joli, pour un titre quand on ne connaît pas c'est hyper facile d'accès... ou Blue Spring Ride sinon!). C'est vraiment ce que j'ai vu plusieurs fois. Une copine libraire Twitter m'a dit qu'elle se tapait tous les shôjo (dont les Soleil, à son grand désarroi ^^; ) car justement ses collègues masculins refusent d'y toucher. Vendredi, quand j'ai acheté mon tome de Nos Temps Contraires dans une librairie de bandes dessinées généraliste, il était sur la pile qui était sous la table des nouveautés: bref, pas du tout mis en avant Triste . Néanmoins, cette sortie est une porte vers le shôjo de SF et j'espère de tout mon cÅ?ur que la série marchera un minimum... J'ai hâte de vous rejoindre et lire mon volume aussi mais quand je vois mon décalage d'un an... ;__;
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Shuichi
Mangaversien·ne


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Message Posté le : 26/10/20 13:42    Sujet du message: Répondre en citant

Taliesin, c'est justement ce que je craignais et que j'ai également pu constater... et j'en ai parlé au responsable de la librairie où je vais régulièrement pour mes manga. Mais il a juste rigolé.

Le pire étant qu'à la FNAC, ils sont déjà rangés dans le rayon shoujo parmi tous les autres et pas du tout mis en avant avec les nouveautés... C'est sidérant.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 26/10/20 15:11    Sujet du message: Répondre en citant

Je me souviens d'un libraire manga chez Gibert Jeune conseillant à un jeune autour de 15 ans Edens Zero, puis tout plein d'autres shônen au moment où le jeune lui répond avoir lu le premier titre, puis ensuite expliquer au libraire que lui, ce qu'il voudrait, c'est découvrir un peu le shôjo. Là, le mec a buggué... Il ne savait pas quoi dire. Il a sorti "Tout est là", à l'époque, dans ce prétendu rayon shôjo, on y trouvait entre autre Blue Flag, Blue Thermal, Shine et d'autres titres. Sans donc aucune explication "tout est là". Et quand je vois des conseils shôjo, lorsqu'il y en a, de libraires encore une fois en ayant peu lus, c'est de suite les mêmes titres qui existent depuis quasi 20 ans, càd Card Captor Sakura et Fruits Basket comme je le disais au-dessus. C'est quand même dingue...

Ah oui le rayon de la Fnac purée, il ne va jamais se vendre là-bas... Perso, ces librairies où j'entends de tels conseils, et la Fnac aussi, je ne veux plus trop y mettre les pieds pour acheter. Autant soutenir, vu que je le peux (car transports pas loin surtout) des librairies où les titres ont l'air au moins lus! Je suis quand même contente que ce soit Akata qui porte cette nouvelle série car c'est un éditeur qui assume totalement le shôjo alors que chez un gros éditeur, il serait devenu... un seinen? un shôjo+? ou même un shônen??? Mort de rire
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais Très content
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Shuichi
Mangaversien·ne


Inscrit le : 05 Mars 2009

Message Posté le : 26/10/20 16:26    Sujet du message: Répondre en citant

Je te rejoins complètement sur tout ce que tu dis... Et je rajouterai que quand les libraires proposent du shojo, le titre en question c'est "Love Hina" par exemple ou encore les titres shonen avec le mot "Love" dedans (Love x Dilemma ou encore Love & Lies, etc.).

Comme si "shojo" était une tare, en fait.

Déjà ces histoires de classification est un débat sans fin mais qui posent un problème certain pour s'y retrouver dans les pays francophones quand on est pas spécialement connaisseur/euse mais si en plus les librairies ne jouent pas le jeu... Dans les endroits où je vais, il n'y a pas de libraire féminine/vendeuse qui aurait peut-être plus de chance pour promouvoir les shojo manga. Non, il n'y a que de jeunes hommes qui proclament que Demon Slayer c'est le meilleur manga du monde et que jamais rien n'a été aussi bien fait. A partir de là.... il y a de gros soucis sur le conseil donné.

Mais voilà, y'a clairement un décalage malheureusement.
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Gemini_
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Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 26/10/20 19:15    Sujet du message: Répondre en citant

Nos temps contraires était mis en avant chez le Renard Doré. Mais c'est le Renard Doré ; je n'avais jamais vu un libraire aussi prompt à parler shôjo manga.

Après, je suppose qu'il y a de tout parmi les librairies. Je me souviens, dans un de mes anciens points de chute, le libraire me disait s'y connaitre en shôjo manga, mais que ses clients et clientes lui posaient peu de questions à ce sujet, sans doute en partant du principe qu'étant un homme, il n'en lisait pas. D'après lui, le lectorat shôjo/BL lui échappait au profit d'un de ses concurrents, dans un magasin suffisamment rentable pour avoir des employés (lui travaillait seul) parmi lesquelles des femmes à qui demander conseil.
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- Tu es critique. Cela signifie que tu dois classer les films sur une échelle qui va de "bon" à "excellent".
- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !
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melvin
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Inscrit le : 25 Jan 2004
Localisation : Paris

Message Posté le : 27/10/20 17:18    Sujet du message: Répondre en citant


Je viens de lire mon dernier tome de Rinne, dernier car Rumiko Takahashi m'a eu à l'usure avec ce shônen en 40 volumes ! Toujours le même style de chapitres auto-conclusifs, rigolo et sympathique mais si peu marquant au final. J'ai tenu un long moment mais cette série aura donc été une déception, je l'ai achetée de manière automatique sans véritable passion depuis le 15ème tome. Je suis quand même allé lire la fin en scan pour voir comment tout ça se termine dans les 2 derniers volumes. Eh bien, le dénouement est à l'image de la série, c'est le minimum syndical, ça ne rajoute rien de plus à l'intérêt de ce manga. Les personnages sont pour la plupart assez peu marquants, y compris Sakura Mamiya la copine du héros parmi les moins réussies dans les héroïnes de Takahashi.
Ce n'est pas nul non plus mais loin d'être suffisant pour en faire un titre qui se démarque dans le marché actuel et plus gênant ça ne se démarque même pas dans les titres de l'auteure.
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong
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