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Auteur Message
Corti
Mangaversien·ne


Inscrit le : 31 Mai 2006
Localisation : Sous la pluie... C'est pas dur de trouver où.

Message Posté le : 29/04/15 13:00    Sujet du message: Répondre en citant

Faudrait quand même que je lise Sakura un jour. Ne serait-ce que pour voir tous les tendances chelous de Clamp pour les couples.
_________________
(ou pas ?)
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Flore
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Mars 2008
Localisation : Strasbourg

Message Posté le : 29/04/15 13:22    Sujet du message: Répondre en citant

Corti a écrit:
Faudrait quand même que je lise Sakura un jour. Ne serait-ce que pour voir tous les tendances chelous de Clamp pour les couples.


C'est clair que sur Card Captor Sakura, elle se sont lachées XD
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 30/04/15 00:09    Sujet du message: Répondre en citant

@Youry: Je pense que les personnes ayant commencé les manga dans les années 90 ont pu difficilement échapper à Clamp ^^ . Même sans être fan, il était difficile de passer à côté Clin d'oeil .

Card Captor Sakura est vraiment un manga intéressant, divertissant, choupi et pas bête du tout! Les dessins sont vraiment jolis en plus, tranchant avec un dessin beaucoup plus dominé par le noir que sont X et Tokyo Babylon: c'est juste super lumineux. Le trait est aussi tout fin, alors que ce n'est pas le cas dans les séries de la première moitié des années 90. C'est un titre qui marque clairement une étape chez Clamp, annonçant les années 2000 Surpris .

J'ai continué à lire des Clamp... on s'y attendait Mort de rire


Clamp School Detectives, volumes 1 à 3
Cette série fait partie des anciennes du studio. Elle est sortie dans la première moitié des années 90 lorsque Clamp était sur RG Veda, X et Tokyo Babylon. Il s'agit d'une série mineure du groupe, même si le trio de personnages apparaît dans X, le campus Clamp jouant un rôle important dans la fin du monde.
L'histoire se déroule au sein du campus Clamp, une sorte de ville-campus gigantesque abritant tout un complexe scolaire allant de la maternelle à l'université, et dans lequel on ne trouve que des éléments d'exceptions. Le campus a été fondé par le très puissant trust Imonoyama. Le campus est aussi célèbre pour les différentes fêtes organisées par les différents comités des élèves.
Dans ce titre, on suit le comité des élèves de l'école primaire doté de 3 élèves: Nokoru Imonoyama (12 ans), président et déjà un incroyable génie (il dirigerait toute la partie électronique de l'entreprise Mort de rire ), Suoh Takamura (11 ans) qui provient d'une famille de garde du corps très réputée, prodige des arts martiaux (juste 3ème dan dans tout plein de disciplines Mort de rire ), très posé, puis Akira Ijuin (10 ans), trésorier, d'un naturel naïf, grand génie de la cuisine (il surpasserait des chefs dans la cuisine française, chinoise et japonaise rien que ça Mort de rire ).
Evidemment, ces 3 élèves sont à la fois intelligents, gentils, adorables, mais surtout très très très beaux (il suffit de voir l'hystérie générale à chaque apparition chez les filles de la maternelle à l'université Mort de rire ). Les élèves du campus sont déjà des éléments très talentueux, mais ce trio est encore plus remarquable...
A côté de ça, notre trio est également une agence de détectives venant spécialement en aide à toutes les filles en difficultés, Nokoru ne supportant pas de voir des "pauvres femmes" pleurer Exclamation .
Un titre qui se lit au N-ième degré tant il ne se prend absolument pas au sérieux. Et c'est peut-être ce qui lasse au final. Si j'ai réussi à lire le volume 1, j'ai eu beaucoup de mal à lire le volume 2 (espaçant les épisodes pour tenir le coup) puis cela s'arrange avec le volume 3 qui révèle la rencontre entre Nokoru et Suoh, donc plus intéressant. A noter que Akira est bien le héros du Voleur aux cent visages, le fait qu'il vive avec deux mamans m'ayant un peu mis la puce à l'oreille (j'avais lu le titre il y a très longtemps mais la bibliothèque l'a désormais perdu Triste ). Le tout est donc très lassant car il n'y a pas de véritable intrigue, chaque affaire se résolvant assez facilement, sans véritable enjeu non plus ^^; . Il faut dire que le côté chevaliers servants de ces trois gamins ne peut que me donner des boutons, avec le côté gentleman et tout le tintouin de la bogossité ultime ^^; . C'est de l'humour Clamp du début, souvent bien à la con et jouant complètement sur le caractère des trois personnages: Nokoru le procrastineur qui fait tout pour échapper à ses responsabilités de président, le très sérieux Suoh qui fait tout pour que Nokoru puisse travailler et Akira, adorable et naïf comme tout. Les décors sont aussi un peu vides, comme dans les titres mineurs et rigolos des années 90 du studio, contrairement à du RG Veda, Tokyo Babylon ou X. Au niveau du dessin, les personnage arborent ces gros yeux caractéristiques des années 90... C'est kitsch, carrément daté, notamment au niveau des vêtements très "élégants". Le campus Clamp est un gros WTF avec sa cafétéria plus belle qu'un La Durée Mort de rire . Autre truc qui marque, c'est la manière dont Clamp fait tomber très souvent par terre les personnages, un trait d'humour qu'on ne voit presque plus aujourd'hui.
Bref, un ancien titre de Clamp assez laborieux, sans scénario, sans mystère non plus, et qui tient surtout par son humour et son fan service Clamp très particulier.



Shin Shunkaden, one-shot.
Encore un vieux titre de Clamp sorti en 1992, arrivant bien plus tard chez Glénat (dans les années 2000). Dans ce titre, Clamp se penche sur les légendes coréennes, notamment Chun-hyang et Muryong, personnages qu'on retrouve dans Le nouvel Angyo Onshi. D'ailleurs, on retrouve à la fin une postface de Youn In-wan expliquant combien Clamp l'a inspiré pour son titre...
L'histoire est celle de Chunyan qui vit avec sa maman dans une ville dirigée par un gouverneur corrompu. Heureusement, Chunyan ne se laisse pas marcher sur les pieds et n'hésite pas à venir en aide à d'autres victimes du fils du gouverneur. Un jour, un jeune homme du nom de Muryon vient en ville. On raconte que l'amenosa, voyageant de ville en ville, doit se charger de faire respecter la loi et punir les gouverneurs corrompus.
Il s'agit d'un titre sympa aux dessins caractéristiques des années 90 mais avec plus de décors, donc très joli. C'est agréable à lire, mais on sent que la série n'est pas réellement finie. On est plutôt dans l'aventure, avec un duo de personnages qui se chamaille tout le temps car qui aime bien châtie bien, c'est connu. Chunyan est une héroïne particulièrement vive et douée pour se battre qui est souvent taquinée pour son manque d'élégance donc. Ce titre fait un peu miroir avec Shirahime Syô, autre titre du début des années 90 en one-shot sorti chez Glénat, dans la mesure où tous deux s'appuient sur des univers non Clamp à la base, et non transformés pour s'intégrer dans l'univers du studio: la Corée ancienne et le Japon d'antan (contrairement à RG Veda qui s'inspire juste des légendes indiennes, mais dont les décors sont complètement à la sauce Clamp). Shin Shunkaden est agréable à lire, divertissant, mais très vite oublié. Un peu comme Shirahime Syô d'ailleurs.


Au départ, j'étais motivée pour lire Dukalyon et Le voleur aux cent visages en Manga Café pour vraiment faire le tour de Clamp (j'ai lu Miyuki-chan in Wonderland assez récemment). Surtout le premier que je n'ai jamais lu, mais je dois dire que le côté lourdingue de Clamp School Detectives m'a bien refroidie.

(Bon, il est trop tard pour les autres titres ><)

Sinon, je suis en pleine relecture de X et je reste toujours aussi impressionnée. J'ai une mauvaise mémoire et encore une fois, je redécouvre pas mal ^^ .
_________________
Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais Très content
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ivan isaak
Mangaversien·ne


Inscrit le : 10 Nov 2009
Localisation : Bordeaux

Message Posté le : 30/04/15 09:04    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai revendu tous les titres de CLAMP que j'avais. Aucun ne méritait d'être relu.
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http://iletaitunefoisunmanga.wordpress.com/
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Sever
Mangaversien·ne


Inscrit le : 18 Avr 2003
Localisation : Au sud...

Message Posté le : 30/04/15 20:35    Sujet du message: Répondre en citant

moi j'ai gardé Card captor sakura (mon premier shojo) et Chobits, 2 séries que j'ai relu plusieurs fois avec plaisirs.

j'ai abandonné en cours et revendu Tsubasa RC, je me suis séparé de X, la relecture m'ayant laissé "froid" (de + la non poursuite m'a déçu)
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 30/04/15 22:43    Sujet du message: Répondre en citant

Area 51 T1 : Les monstres, les Dieux, et les ET existent, mais leur présence est cachée aux yeux des humains, cantonnée à une ville surnommée par ses habitants le 51ème état des USA, ou Area 51. Toutefois, quelques humain,s dont la présence n'est plus souhaitable dans leur monde, vivent eux-aussi dans cet endroit étrange ; parmi eux Tokuko Magoi, dite McCoy, détective privée.



J'ai été surpris de constater que Casterman continuait, bon gré mal gré, à proposer quelques séries dans un format manga classique, par opposition à leurs publications plus axées vers le lecteur de Franco-Belge. Première impression le bouquin en main : c'est extrêmement soigné, les effets sur la couverture sont magnifiques, le papier blanc et épais, un régal.
C'est la première fois que je lis un manga de Masato Hisa, mais son trait est bien particulier, surtout concernant son travail sur les jeux d'ombre ; à l'instar du Sin City de Frank Miller, il s'appuie sur de forts contrastes, très peu de déclinaisons de gris (à travers les quelques trames qu'il emploie), et il n'hésite pas à faire ressortir de cette manière des éléments qui ne devraient pas apparaître aussi violemment, comme des traces de pas. Comme cela change de la plupart des manga, il faut un léger temps d'adaptation, mais cela participe à donner une identité au titre.
Concernant l'univers, il me rappelle celui de Kekkai Sensen : nous sommes dans une ville américaine et cela se sent à tous les points de vue - architecture, archétypes des personnages - mais avec des créatures mythiques à tous les coins de rue, tenant les rôles habituellement attribués dans de telles circonstances. Si l'héroïne est humaine, son assistant est un kappa, son premier client Hermès, et Pan son vendeur de donuts. Le bestiaire est foisonnant, emprunte à toutes les cultures, et va du plus commun (les centaures) au moins conventionnel (les Penanggalans) ; avec quelques explications si besoin est.
La série est bâtie comme une succession d'affaires exploitant les spécificités de la ville, avec un ton global plutôt sombre, notamment le chapitre sur les vampires. Mais cela n'empêche pas l'auteur de proposer de l'action et un humour efficace, notamment à travers un héroïne réputée pour semer la destruction sur son passage.
Pour l'instant, les histoires sont relativement indépendantes, et c'est logique puisque cela permet à l'auteur de développer les nombreuses possibilités liées à son univers. Il existe un fil rouge, mais il prend soin de faire dire à son héroïne, d'entrée, que les révélations viendront plus tard.
La grande force de ce premier tome, c'est peut-être bien - outre le concept même de l'Area 51 - son atmosphère américaine, jazzy, qui n'est pas sans rappeler quelques vieux polars, ou des séries comme Cowboy Bebop. Il s'agit d'un style que les Japonais fantasment et utilisent assez bien, qui participe à l'identité du titre. Cela me parle, je lirai la suite.
_________________
- Tu es critique. Cela signifie que tu dois classer les films sur une échelle qui va de "bon" à "excellent".
- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 01/05/15 11:55    Sujet du message: Répondre en citant

Sever a écrit:
moi j'ai gardé Card captor sakura (mon premier shojo) et Chobits, 2 séries que j'ai relu plusieurs fois avec plaisirs.

j'ai abandonné en cours et revendu Tsubasa RC, je me suis séparé de X, la relecture m'ayant laissé "froid" (de + la non poursuite m'a déçu)

J'ai relu plusieurs fois X et comme j'ai une mauvaise mémoire (ou peut-être la fréquence de lecture), j'oublie souvent l'intrigue et je reste surprise. J'adore X, je ne m'en lasse pas. Trèfle m'a grandement surprise aussi en relecture, alors que je n'avais pas trop aimé la toute première fois. L'univers y est très intéressant.

Je reste partagée sur Chobits, même si les questions y sont intéressantes. Graphiquement, je trouve ce titre très joli et c'est un titre assez différent de ce que fait Clamp habituellement. Tu as abandonné Tsubasa à quel volume? Même si l'intrigue est très tirée sur les cheveux, j'ai trouvé ce titre très addictif à vrai dire >_< .
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 01/05/15 14:27    Sujet du message: Répondre en citant

Kokkoku tome 1: ça se résume assez facilement car ce premier tome est une grosse introduction. On est directement dans le sujet sans savoir pourquoi ni comment. Les lois de l'univers sont fascinantes mais l'ensemble est un peu brouillon. En 8 tomes ça promet de belle surprise
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TomBROz
Mangaversien·ne


Inscrit le : 22 Avr 2015

Message Posté le : 01/05/15 16:32    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Kokkoku tome 1


Ah tiens ! je l'ai loupé celui-là ... merci Clin d'oeil
J'compte sur toi pour faire une critique du tome #2 quand il sortira et si tu l'achète, pour savoir si ça vaut le coup de commencer la série Mort de rire
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Youry
Mangaversien·ne


Inscrit le : 13 Fév 2015
Localisation : Lot

Message Posté le : 02/05/15 11:32    Sujet du message: Répondre en citant

Relecture de 20th century boy tome 1 a 8 pour le moment
Moins d'un an après ma première lecture de cette série jai eu envie de la voir dun oeil nouveau.
C'est toujours aussi bon, le suspense est la, les personnages géniaux. On a des passages sur des personnages complémentement inconnu qui se rapproche d'autres personnages. Urasawa est un chef pour ça. Aussi le fait de montrer un passage de discussion sans montrer lun des participants sauf au bon moment il fait ça souvent dans bily bat aussi.
Ce qui veulent un avis sur la deluxe de panini : c'est assez casse tête a lire vu le poids mais c'est plus agréable a la rétine. En fait c'est juste un tome double grand format. Ils auraient du mettre les pages couleurs surtout pour cet auteur.
Enfin hâte de lire la suite même si je connais encore bcp d'éléments.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 05/05/15 14:59    Sujet du message: Répondre en citant

Innocent T1 : Depuis plusieurs générations, la famille Sanson officie comme exécuteur des hautes Å?uvres pour le compte au service de la monarchie. Le prochain héritier de cette charge, Charles-Henri, deviendra un témoin privilégié de la Révolution Française, faisant tomber près de 3000 têtes dont celle de Louis XVI. Ceci est son histoire.
Ou du moins, sâ??agit-il dâ??une version romancée â?? et très libre â?? de celle-ci, lâ??auteur indiquant dâ??entrée sâ??inspirer de personnages ayant existé, mais prendre les libertés qui lâ??arrangent. Câ??est de bonne guerre. Mais cela implique deux choses : que ce manga, au même titre que La Rose de Versailles, apporte une lecture erronée de lâ??Histoire â?? le véritable Charles-Henri travailla pendant 20 ans avec son père, tandis que le mangaka prend ici une décision bien différente pour le bien de son récit â?? et une vision du personnage loin dâ??être celle couramment véhiculée. Certes, il sâ??agissait dâ??un bourreau, efficace, et même si son travail fût alors applaudi par les révolutionnaires (du moins ceux qui nâ??imaginaient pas devenir ses prochains clients), il nâ??en restait pas moins bourreau, dâ??où une réputation peu flatteuse. Mais le Sanson de Shinichi Sakamoto est un adolescent emo, dépressif, persuadé que personne ne lâ??aime, que le monde est injuste, et quâ??il sème le malheur partout où il passe. Cela nâ??en fait malheureusement pas un personnage sympathique ; même si nous pouvons comprendre le poids lié à son héritage, il lui arrive régulièrement de se montrer exaspérant dans ce premier tome, le pire étant que les événements viennent lui donner raison. Ce héros ne semble né que pour souffrir.
Le trait du mangaka est très soigné, très léché, avec une utilisation de photographies ou de dessins photo-réalistes pour les décors, ce qui vient renforcer lâ??aspect glauque de ce quâ??il raconte. Ses protagonistes apparaissent comme des éphèbes, élancés, ce qui combiné aux tendances de Charles-Henri, aurait tendance à faire passer Innocent pour un Boys Love déguisé.
Au-delà de ces parti-pris graphiques et surtout narratifs â?? qui me parlent peu â?? cette entame renferme un défaut fatal : une fois la dernière page tournée, impossible de savoir de quoi parle ce manga. A part dâ??un personnage â?? dépressif et peu attachant â?? de bourreau nommé Charles-Henri Sanson. Il ne sâ??agit pas dâ??une Å?uvre historique en raison des incessantes libertés prises avec les faits, et aucun scénario ne ressort, outre le quotidien et lâ??évolution de Sanson. Autant jâ??ai pu donner le bénéfice du doute à 7 Shakespeares en raison dâ??un auteur que jâ??apprécie et dâ??une entame convaincante, même si son premier tome nâ??indiquait absolument pas de quoi il allait parler, autant Innocent ne bénéficie absolument pas de ces atouts ; ce que jâ??ai lu mâ??a peu emballé, et nâ??a strictement rien apporté qui aurait pu attiser ma curiosité, et me donner envie de continuer ma lecture.
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kent
Mangaversien·ne


Inscrit le : 24 Jan 2003
Localisation : in ze kenthouse

Message Posté le : 05/05/15 20:23    Sujet du message: Répondre en citant

Gemini, j'ai particulièrement apprécié ta critique de Innocent qui me fait dire que le graphisme attirait énormément lâ??Å?il mais en le feuilletant, j'ai trouvé aussi un manga particulièrement vide de texte. Et du coup, ça m'avait interloqué. Je crois comprendre la raison en lisant la critique que tu as formulé.
Qu'as tu pensé de Ad Astra et Cesare, autres récits dits historiques?
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Ma collection :
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Aniki
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Nov 2003

Message Posté le : 05/05/15 23:08    Sujet du message: Répondre en citant

Gemini_ a écrit:
Au-delà de ces parti-pris graphiques et surtout narratifs â?? qui me parlent peu â?? cette entame renferme un défaut fatal : une fois la dernière page tournée, impossible de savoir de quoi parle ce manga. A part dâ??un personnage â?? dépressif et peu attachant â?? de bourreau nommé Charles-Henri Sanson.


Je t'avoue que je ne comprends pas pourquoi le fait que le titre s'axe presque exclusivement sur le quotidien ou sur le portrait d'un personnage te frappe dans ce manga en particulier. Parce qu'il y en a des tonnes, dans ce genre.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 06/05/15 08:06    Sujet du message: Répondre en citant

kent : Désolé, je ne les ai pas lu.

Aniki : Parce que le personnage ne m'a pas intéressé une seconde. Un emo dépressif condamné à souffrir, c'est peu engageant. Après, j'avoue qu'à la lecture du synopsis et à l'écoute de la chronique de Mangacast, je m'attendais à un manga plus axé sur l'Histoire.
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EdenA
Mangaversien·ne


Inscrit le : 07 Nov 2007

Message Posté le : 06/05/15 11:25    Sujet du message: Répondre en citant

Personnellement, sa perosnnalité ne m'a pas dérangé, ça s'inscrit plutôt bien dans ce côté décadent et glauque de cette famille noble. Et comme ça se veut de la "tranche de vie" d'époque et que je ne suis pas historien, le tome 1 m'a plutôt plu. Curieux de voir la suite.

Ippo saison 4 tome 5 et 6 : Je suis arrivé à un point critique en lisant la première moitié du 5. Du genre qui ne me donnait même plus envie de lire la suite car clairement la série me lassait avec un futur combat qui s'annonçait sans intérêt. Et puis en me forcant un peu, j'ai continué. Et je suis encore tombé dans le panneau, vu combien l'auteur est un vieux briscard rodé à toutes les techniques pour fixer des enjeux là où il n'y en avait pas. Du coup, on se retrouve à attendre le combat avec curiosité puis à le suivre avec grand intérêt. Quel vieux renard, ce Morikawa Mort de rire
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